Ainsi donc est ma vie, ainsi va ma pensée,
Lisez sur cette page mon nom, mon intime,
Voyez les maux d’un cœur et sa simplicité…
Voyez donc les remous de mon âme enchaînée…
Cette page aurait pu si bien être roman
Que mes larmes et rires imbiberaient les mots,
L’eau coulerait des pages de même qu’en mon corps
Et celui qui des mots ne voit que la couleur
Pâtirait de la soif et mourrait sur ce fleuve…